Chassé du château de son enfance, son -paradis terrestre-, Candide est entraîné bien malgré lui dans une succession d'aventures calamiteuses. Il s'étonne, s'offusque, se lamente... L'humanité serait-elle foncierement mauvaise ? Le jeune garçon assiste, impuissant, a la mort de son reve : celui d'un monde parfait. Perdant sa naiveté et son -optimisme-, peu a peu il se résigne. La verve et l'ironie mordante de Voltaire se conjuguent a merveille dans Candide pour évoquer, sous des airs de légereté, des sujets essentiels.